Jeudi: Arrivée à Auckland :

 

Arrivée dans notre chambre, premier coup d’oeil qui nous a vallu un fou rire : une petite chambre sans fenêtre, une vieille moquette sale, deux lits superposés,... et un brésilien échoué dans son lit nous l’avons baptisé“opposum”.

Nous décidons de prendre une douche pour nous remettre les idées en place. Plus possible de tenir : nous tombons bien vite dans les bras de Morphée...

4h du matin, nous voilà frais et dispos, impossible de retrouver le sommeil ! Notre première journée commence...

Douche, petit déjeuner, et réunion d’information du WEP. Voilà 10h, nous sommes toute ouïe ! Prêts pour 3h de réunion !

La responsable s’exprime en anglais avec une très grande rapidité. Pas évident de digérer toute l’information.

Une fois la réunion terminée, direction la banque pour l’ouverture des comptes. François sympathise avec un “collègue”.

On recherche ensuite un nouvel endroit pour dormir. Il était en effet prévu de ne pas rester dans cet hotel dont la “réputation” nous avait déjà été faite.

On téléphone et on trouve bien vite un autre hotel pour le lendemain. Nous ne dormirons pas à la rue demain soir. On souffle, on “Burger King-uent”. On est heureux...

Retour à l’hotel vers 18h, toujours pas de bagages. Le stress re-monte. On contacte l’aéroport. Ceux-ci nous garantissent qu’ils nous seront livrés dans la soirée...

20h30 : toujours pas de bagages. Hélianthe se réveille et François lui suggèred’aller boire un verre. Il faut combattre la fatigue pour digérer le décalage horaire.

Par hasard, nous entrons dans un bar... belge. François boira une Cuvée des Trolls. Vive le dépaysement aux antipodes !

22h30 : retour de soirée. Et toujours pas de bagages !

Une seconde nuit sans nos affaires s’annonce. Il est grand temps qu’elles arrivent car le kit de survie offert par l’aéroport ne nous permettra pas de tenir un jour de plus !

Au matin, miracle, nos sacs sont à la réception !

Sauf qu’ils ont été contrôlés à la douane. Toutes nos affaires sont là, mais retournées dans tous les sens ! Une fermeture-éclair du sac de François a été cassée lors du contrôle. S’engage alors dans le couloir de l’hotel un grand tri et un grand rangement de nos sacs. Sans oublier une réparation de fortune de la tirette...