samedi 20 avril 2013


Mardi 26 :

Re-réveil tôt, re-pliage de tente. Cette fois-ci sera la bonne. Pas de jour férié en perspective! Nous sommes dans les temps... jusqu’au démarrage de la voiture : la batterie est morte. Voilà ce qui arrive quand on oublie d’allumer le moteur avant de réchauffer l’habitacle tous phares allumés... Oups... Nous tentons de démarrer le moteur en poussant la voiture (chargée, faut-il le préciser?...). Pas évident de faire prendre le moteur sur une voiture automatique : il faut freiner pour démarrer le moteur. La troisième tentative sera la bonne. Nous voilà rassurés... de pouvoir quitter ce camping! Première étape à Alexandra : un garagiste pour checker la batterie. Tout est en ordre, nous serons donc vigilant sà l’avenir.

Seconde étape : l’association. Nous serons “gentillement” reçu par une “charmante” personne : 5 minutes montre en main pour prendre nos coordonnées et s’entendre dire que nos chances de trouver du boulot sont maigres.
Un peu dépités, nous reprenons la route de Queenstown.
En chemin, Nous sommes bloqués durant une vingtaine de minutes. Des travaux sont en cours et visent à faire exploser les rochers menaçant de tomber sur la voie.

Nous souhaitons faire une halte à la Library afin de recharger les batteries et nous connecter au monde. Mais nous nous arrêtons tout d’abord chez un viticulteur, Geoff. La chance tourne enfin : il lui reste deux postes à pourvoir. Nous commencerons mardi prochain. Ne nous reste qu’à trouver un logement. Et pour ce faire, Geoff a un bon contact. Un de ses voisins disposent d’accomodations au milieu de ses vergers pour ses travailleurs saisonniers. La saison du fruitpicking étant terminée, la plupart de ses chambres sont libres. Réservation est faite. D’autant que les tarifs défient toute concurrence, campings compris.
Nous pouvons quitter Cromwell, pour une semaine, afin de visiter la région de Queenstown.

Arrivée à Queenstown. Cette ville nous laisse une étrange impression. Huppée et artificielle, jeune et bruyante... Au milieu d’un paysage et d’une région superbe. Peut-être un gâchis.

Nous n’y resterons que quelques heures afin de recharger nos gsm, appareil photos et ordinateur. Camping trouvé, au bord du Moke Lake, nous reprenons donc rapidement la route.






Nous y resterons deux nuits et y ferons la connaissance de deux Français, pêcheurs à la mouche.